Le court métrage « dessine-moi une frontière » est la réponse à un appel à thème du Festival du film d’habitants organisé par la fédération de Paris de la Ligue de l’enseignement et la Mairie de Paris. Le projet initié par Richard Turban a pris forme au fur et à mesure des imaginations et de ses rencontres. L’idée de départ était de mettre en avant ce phénomène à travers un traitement surnaturel et onirique, comme son thème, qui nous pensons au vu de notre histoire et de la planète, reste un thème fort et apprécié par beaucoup de monde, imaginé, représenté autour d’une gare, lieu de passage et de multiples frontières à multiples caractères et à multiples facettes, traversant les symboles et traversant le temps. Nous avons été par la suite conduit à réfléchir au traitement que nous avons déterminé comme étant sobre afin de mettre tout l’accent sur l’image et son procédé. Le résultat est 6 mois de recherche et de travail pour un résultat voulu à la porté de tous et tel que nous l’avions imaginé.
Nous vous proposons ici de regarder le film
Découvrez avec nous la confection du film
Nous vous présentons ici la confection du film de sa nature à son élaboration en passant par son vivant. Préparation, lecture, écriture, essais, tout y est pour que vous puissiez apprécier et réaliser avec nous le travail effectué. Survolez ou cliquez sur une vignette et à l’intérieur de chaque vignette cliquez où vous voulez afin d’en savoir davantage. Nous vous souhaitons une bonne visite.
Dessine-moi une frontière a reçu
le prix du jury et le prix du public
par la mairie de Paris, la fédération de Paris de la ligue de l’enseignement, le centre d’animation Louis Lumière lors de la quatrième édition du festival de films d’habitants, le premier février 2014
Le film est consultable à la salle des collections du forum des images
Les effets spéciaux
Les effets spéciaux et le traitement du film se voulurent sobres et marqués afin de mettre un maximum l’image et ses symboles en avant. D’où l’idée et le respect d’un rendu en noir et blanc avec un fort contraste pour bien privilégier l’œuvre et ce qu’elle raconte. Les travaux de recherches et de retouches ont été une aide : à la stabilisation. Ayant tourné avec une petite caméra et très peu de moyen, le film fut beaucoup tourné ‘à la main’ puis retouché en post production afin de rendre les mouvements et le design du film épuré, pas trop mouvant mais en gardant l’aspect et l’idée de départ. Quelques simulations d’effets de transferts optiques et techniques assujetties aux vieilles caméras furent intégrées afin de donner un style et cassant un tant soit peu notre image préférée : numérique. Des effets d’accélérés, temps qui passe, ralentis viennent parfaire le style de l’image.
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